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 Août: les sacs à eau à l'essai

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Août: les sacs à eau à l'essai Empty
MessageSujet: Août: les sacs à eau à l'essai   Août: les sacs à eau à l'essai Icon_minitimeVen 6 Aoû - 13:11

À VTT, le sac à dos a assis son utilité lorsqu’on lui a associé la fonction de porte-boisson. Une solution plus pratique que l’ancestral bidon de faible capacité, difficilement saisissable ou parfois vite perdu sous les secousses. Au fil des années le sac à dos a évolué en jouant sur le design, la technicité et l’ergonomie. Des paramètres complexes à marier tant les utilisations à envisager sont aussi diverses qu’il y a de variantes de notre pratique favorite.

Trouver sac à son dos
Pour chacun, le sac à eau trouve son utilité tôt ou tard : de la randonnée cross-country au trip enduro, en passant par le ride en station, la séance photo ou la journée de shape de son spot favori... On finit toujours par y entasser son nécessaire du moment ! Un bien vaste programme ! VéloVert a donc opposé une douzaine de produits sur les points clés qui font un bon sac à eau pour VTTiste. De quoi trouver le sac qui correspond à son tempérament, donc trouver « sac à son dos » ! Et puisque le meilleur sac ne tiendrait pas sur l’échine sans être correctement ajusté, on te livre ici comment bien porter son sac de VTT.


Sommaire :
A. Les points clés d’un sac à eau digne de ce nom :
B. Comment bien porter son sac à VTT ?
C. Les essais :

A. Les points clés d’un sac à eau digne de ce nom :
Un sac à dos moderne, adapté à la pratique du VTT, comporte plusieurs dispositifs importants que notre comparatif a mis en évidence. Même si tu ne trouves pas ton bonheur dans le panorama qui suit, voici les points importants qui te permettront de vérifier que le modèle que tu vises est bien adapté à la pratique :

- Le corps du sac : le contenant
1. La poche principale : comme une évidence, tous les sacs essayés comportent une grande poche, représentant à elle seule la moitié de la capacité totale du sac. Mais des disparités existent sur sa forme. La première différence se joue sur la présence ou non de compartiments pour y organiser le contenu. La seconde variante porte sur la possibilité d’ajuster sa capacité par un dispositif à fermeture éclair.

2. Poche extérieure : pour les objets trop encombrants, tous les sacs proposent une poche extérieure ouverte. Elle permet d’y accrocher un casque (même intégral, par la mentonnière), d’y glisser une veste de pluie ou bien les quelques outils qui permettront d’entretenir le chemin.

3. Les sangles de maintien : pour minimiser l’encombrement et les mouvements d’un fort chargement (dont celui de la poche extérieure), la plupart des sacs comportent des éléments pour sangler le contenu. Plaqué au dos, il permet au corps du sac de former un bloc compact à la faible inertie, qui ne se déforme pas sous les mouvements.

4. la poche pour téléphone : parmi les divers compartiments qu’un sac peut comporter, celui destiné à contenir le téléphone est le seul en commun à tous les modèles de cet essai. Il présente une taille limitée afin d’éviter à l’appareil de se balader, et un revêtement en tissu doux pour préserver sa coque et son écran.

- Le dispositif de portage : l’interface homme/produit
1. Le dos : surface de contact la plus étendue entre le pilote et son sac, le dos est l’une des plus travaillée. Les pads d’appuis et les tissus utilisés doivent remplir la lourde tâche d’être confortables, assurer de bons appuis et limiter la transpiration.

2. Les bretelles : autre zone de contact avec le corps du VTTiste, les bretelles semblent être les éléments les plus complexes. Leur profil, leur réglage de longueur, leurs points de fixation, les tissus utilisés et tous les dispositifs qu’elles peuvent supporter participent à leur ergonomie. Au final, elles sont d’autant plus réussies qu’elles se font oublier.

3. La sangle au torse : elle relie les deux bretelles aux deux-tiers de leur hauteur. Lorsque le sac est fortement rempli, qu’il ballote de droite à gauche ou bien que le pilote écarte les bras, les bretelles auraient tendance à s’écarter et à tomber des épaules sans sa présence. La hauteur sur la bretelle s’ajuste par un système de glissière. La plupart sont en matière élastique qui augmente le confort. Elle se ferme par un clip plastique.

4. La sangle abdominale : même raccordées au plus bas sur le corps du sac, les bretelles ne suffisent pas à limiter les mouvements du bas du sac en cas de saut, de forte pente ou de virage. Cette sangle, offrant ou non des appuis lombaires, permet de limiter ces mouvements parasites. Sur certains rares modèles, ce sont sur eux que doit reposer le poids du sac.

5. La poignée haute : à en brosser un tableau très technique, on en oublierait presque l’essentiel : un sac à eau reste un sac à dos avec ses éléments principaux. La poignée haute, qui permet de le transporter d’une main lorsqu’il n’est pas sur le dos, en fait partie. Aucun élément de ce dossier n’en fait abstraction.

- La poche à eau : un élément à part entière...
1. interface avec le sac : tous prévoient évidement un dispositif pour la recevoir et acheminer le tuyau et sa tétine à la bouche du VTTiste. À commencer par la poche qui doit la contenir : simple compartiment de la poche principale ou emplacement séparé suivant les modèles. Dans tous les cas, la poche se fixe en haut pour éviter qu’elle ne se tasse au fur et à mesure de la sortie et forme une boule dans le dos du pilote. Une sortie spécifique au tuyau, centrale ou bien dans l’une des bretelles, permet un montage propre et fiable. Une des deux bretelles, ou parfois les deux, comporte des passants (tissus ou crochets plastiques) qui maintiennent en place le tuyau.

2. Capacité : sur nos modèles, la capacité varie de 1L à 3L. Elle s’ajuste grâce aux graduations que certaines poche comportent.

3. Fermeture : pour éviter les fuites, les dispositifs de fermeture des poches à eau ont subi de nombreux développements. Désormais, deux types de dispositifs s’opposent : les bouchons vissés et les glissières à règles. Les premiers sont faciles à fermer. Les seconds offrent une ouverture plus grande qui permet de viser plus facilement la poche lorsqu’il s’agit de la remplir. Il permet en outre de la nettoyer plus efficacement lors de l’entretien courant.

4. Tuyau : il relie la poche à la tétine. En matière plastique souple, certains sont développés pour offrir une isolation thermique du liquide.

5. Tétine : elle est recouverte d’une gomme souple dans laquelle on peut mordre afin de la garder à la bouche sans tenir le tuyau d’une main. Pour stopper le débit de boisson, la plupart offrent un dispositif en pivotant la tête, un robinet ou bien en actionnant un clip.

B. Comment bien porter son sac à VTT ?

Sac qui frotte, qui bouge, qui rebondi, qui tape dans le casque... Mal porter son sac c’est forcément se créer des problèmes de confort sur le vélo. Voici les quelques étapes importantes à respecter pour les différents réglages.

- Les bretelles :
1. Trop longues : le sac sera beaucoup trop bas dans le dos. Balancement, rebond, il risque de te dépasser à la première manoeuvre.

2. Trop courtes : le sac remonte dans le dos. En roulant, il tapera l’arrière de ton casque à la première descente. Le haut du sac n’entre plus en contact avec le dos.

3. Le sac au milieu des omoplates : il s’agit de la position idéale. La surface en contact avec le dos est maximale, la pression de contact est donc moins importante.

- Les sangles :
1. La pose sur le dos : en se penchant, un léger décollement peut se produire, dus à la rigidité du sac. Il ne doit pas être plus important que sur cette illustration.

2. La sangle abdominale : si c’est le bas du sac qui se décolle, la sangle abdominale sert alors à replacer cette partie du sac sur le dos. Son serrage et ses appuis lombaires participent alors également au maintien du sac dans les virages.

3. La Sangle au torse : son ajustement vient en dernier. Elle ne sert pas à positionner le sac. Elle permet de maintenir les bretelles en place. Pour jouer son rôle, elle doit se trouver au plus fort de la courbure des bretelles sur le torse. Elle ne doit bien entendu pas entraver la bonne respiration du pilote.

C. Les essais :
Les résultats présentés dans cet essai sont issus d’essais terrain. Pour mettre en exergue les comportements de chaque produit, voici les points clés du protocole que l’on a suivi :

Le contenu type : 1 chambre à air, 1 pompe, 1 pompe Haute pression, 1 multi-outil, 1 paquet de rustines, 2 barres céréales, 2 litres d’eau, 1 carte, 1 téléphone, 1 portefeuille, 1 paire de lunettes.

Le test en descente/enduro : une journée durant, sur la même piste de descente, habillé d’une veste de protection, d’un maillot de descente et d’un casque intégral, chaque sac ajusté suivant le même protocole, notre pilote a effectué une descente avec chacun d’eux pour en identifier les mouvements de gauche à droite en virage, et de haut en bas lors des sauts, bunny-up et ruptures de pente.

Le test en cross-country : habillé d’un maillot de cross-country et d’un casque type jet, notre pilote d’essai a parcouru la même boucle test. L’objectif était alors d’identifier les zones d’appuis du sac au pédalage, les éventuelles zones de frottement et l’évacuation de la transpiration des différentes zones de contact.

Le test d'étanchéité : Pour recréer ces conditions, tous les sacs ont pris place en position inclinée (comme sur le dos du pilote) sous la même averse orageuse d’une trentaine de minutes. C’est ensuite l’état (sec, humide, mouillé) du papier qu’ils contenaient dans leurs poches qui faisait office de juge de paix.

Le test de conservation de température : l’été, les fortes chaleurs font parfois monter la température du liquide contenu dans le tuyau. Une première gorgée bouillante avant de retrouver le bienfait des glaçons contenus dans la poche à eau. Placé 15 minutes au soleil, puis goûté pour en déterminer la température (frais, tiède, chaud), le contenu de chaque tuyau permet d’en savoir plus sur l’efficacité des dispositifs isolants.
























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